dimanche 17 juin 2012

Plan Nord



Jean Charest rêvait au Plan Nord comme un enfant qui écrit au père Noël. À la place, il a eu un carillon de casseroles, avec les rêves contenus et frustrés d’une partie de la population. Mais il n’en a pas voulu, et a laissé le Père Noël dans la cheminée. Jusqu’à ce que la maison prenne feu.


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Le Plan Nord, c’est un rêve des années 1960, où l’homme disciplinait la nature en vue d’une société plus riche et productive. Le printemps érable, c’est un rêve des années 1970, avec l’héritage de la contestation généralisée et l’attente d’une autre société. On a fait grand cas du Québec-enfant-de-la-Révolution tranquille. Qu’en sera-t-il de l’autre rêve ?

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Perronisme 1
Ce sont de petites erreurs monumentales

-La blague de Jean Charest sur les étudiants à qui il va trouver une job dans le nord
-L’un des négociateurs de la CLASSE qui a lancé, à la table des négociations : « On va vous l’organiser le Grand Prix »

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